Les unités de production de Parexlanko sont automatisées. De ce
fait, la priorité consiste à protéger le personnel des
équipements en mouvement. A la base, tout équipement est en
conformité avec la directive “Machines”, tant au niveau de
l’outil que de son intégration dans le process. Pour ce faire,
plusieurs techniques sont mises en œuvre, en fonction des
risques, des besoins d’accès et du type de machines :
grilles et barrières immatérielles sélectives, qui entraînent
l’arrêt immédiat de l’unité de production dès que le faisceau est
coupé. Toutes les zones en mouvement et à risques sont protégées
par des carters, des portes ou des grilles. La sécurité par
coupure d’alimentation est assurée par contacteur, sur toutes les
portes et les trappes d’accès.
Les situations les plus complexes à gérer se situent en cas de
pannes, d’incidents sur la chaîne de production et, de manière
plus globale, pendant les phases de maintenance. Dans ces
contextes, le personnel intervient en totale sécurité, grâce à
une procédure générale de consignation, qui empêche toute remise
en marche de l’installation. « Lorsque nous investissons
dans un nouvel équipement, précise Frédéric Le Ribler, nous
intégrons très en amont cette problématique, en conception, afin
que l’ensemble de la chaîne de production présente le même niveau
de protection. »
Plusieurs techniques sont mises en œuvre, en fonction des
risques et des besoins d’accès : grilles et barrières
immatérielles sélective.[©ACPresse]