Afin d’éviter au maximum les co-activités, Parexlanko privilégie
la séparation totale des flux camions/piétons/engins de
manutention. Les croisements sont limités, les signalétiques,
horizontales et verticales, balisent en permanence les
différentes zones et cheminements.
Les chauffeurs affrétés par Parexlanko reçoivent une
communication des règles de sécurité en vigueur sur le site. Les
chauffeurs extérieurs sont “briefés” à leur arrivée : port
obligatoire de chaussures de sécurité, gilet haute visibilité,
interdiction de fumer, respect des règles de circulation et des
emplacements, obligation de rester près du camion pendant le
chargement, obligation pour le chauffeur de maintenir une
distance minimale de 3 m avec les chariots élévateurs…
« Nous avons développé des mesures spécifiques, après avoir
constaté plusieurs accidents récurrents affectant les chauffeurs,
ajoute Frédéric Le Ribler. Des plaies à la tête ont eu lieu
lorsqu’ils débâchaient, les ridelles leur tombant parfois dessus.
Pour éviter cela, nous leur fournissons une pince, qui leur
permet de crocheter la ridelle depuis le sol. Nous leur
interdisons de monter sur la plate-forme de chargement, sauf
exception. En effet, la hauteur limitée donne une sensation de
sécurité, mais des chutes d’une hauteur de 1,50 m peuvent être
graves, nous avons eu des cas de fractures. »
De plus, les chariots élévateurs sont tous équipés de feux et de
“bip” de recul. Ils disposent aussi d’un “Blue Stop”, qui permet
aux piétons de visualiser le chariot dans les lieux sombres,
avant qu’il n’arrive réellement à leur hauteur. Les chariots sont
prioritaires sur les piétons. Car, d’une part, le piéton voit
mieux le chariot que l’inverse. D’autre part, il faut que le
piéton ait toujours conscience qu’il se déplace sur une aire de
chargement.
