En baisse quantitative, avec de fortes disparités géographiques
- Définir des objectifs de sûreté clairs et réalistes sur
la base d’un diagnostic partagé par les personnes ayant à en
connaître.
- Définir le cadre juridique (les normes), la déontologie
(la pratique professionnelle), l’éthique (les valeurs) au sein
desquels s’inscrit la politique de sûreté.
- Recruter un responsable de la sûreté et
(éventuellement) une équipe en harmonie avec ces normes. Pour les
entreprises de petite taille, nommer et former un référent sûreté
par ailleurs en charge du domaine HSE.
- Décloisonner la politique de sûreté afin d’éviter les «
tuyaux d’orgue » et afin de croiser les dispositifs de protection
des personnes, de protection de l’information, de protection des
installations.
- Inclure cette politique de sûreté dans la politique
globale de management des risques et obtenir l’engagement d’un
décideur exécutif garant du partage d’ensemble.
- Travailler conjointement sur les volets
organisation–hommes–techniques et formaliser les procédures de
sûreté.
-
7. Sensibiliser et former l’ensemble des collaborateurs à la sûreté appliquée à la vie quotidienne dans l’entreprise et dispenser des formations spécifiques pour les voyageurs d’affaires et les expatriés.
- Évaluer régulièrement les menaces, en faisant appel, si
besoin aux services spécialisés de l’État (DCRI, DGSE).
- Imposer au service de sûreté une reddition de comptes
régulière ainsi que le suivi d’un tableau de bord renseignant les
indicateurs correspondant aux objectifs du plan d’action.
- En utilisant les retours d’expériences préparer et expérimenter un plan de gestion des situations de crise.
Article extrait de la revue Préventique n°121 janvier/février 2012