Alt Impact repose sur trois grandes étapes :

 

1. Prendre conscience de son impact

La première étape consiste à mieux comprendre ce qui pèse réellement :
 

  • 60% de l’impact environnemental provient de la fabrication des équipements (ordinateurs, smartphones, tablettes, écrans).
  • les pratiques de stockage (mails, serveurs, cloud) peuvent aussi devenir énergivores si elles ne sont pas régulées.
  • le renouvellement rapide du matériel, souvent tous les 2 à 3 ans, aggrave encore l’impact.
     

Alt Impact propose des contenus pédagogiques pour comprendre ces enjeux et faire le point sur sa propre organisation.

 

2. Découvrir des bonnes pratiques adaptées

La plateforme recense une série d’actions concrètes, simples à mettre en œuvre et adaptées au contexte professionnel. Quelques exemples :
 

  • limiter les achats neufs en mutualisant le matériel entre services ou en recourant à du matériel reconditionné,
  • faire durer les équipements : entretien, réparations, mises à jour régulières,
  • réduire le stockage inutile en supprimant les mails obsolètes, les doublons et les fichiers temporaires,
  • alléger les contenus numériques (poids des pièces jointes, vidéos compressées, images optimisées sur les sites internet),
  • mettre en place une gouvernance numérique pour encadrer les pratiques (durée de conservation des fichiers, gestion des serveurs, règles internes…).
     

Chaque fiche de la plateforme précise les objectifs, les bénéfices et les moyens d’agir.

 

3. Passer à l’action et structurer sa démarche

Alt Impact met également à disposition :
 

  • des guides et outils pour construire une démarche structurée,
  • des ressources pour sensibiliser les équipes (supports de formation, animations, quizz…),
  • des idées pour mobiliser en interne (ateliers collaboratifs, fresques du numérique, défis écoresponsables…),
  • des informations sur les financements possibles, comme les certificats d’économie d’énergie ou les aides régionales.
     

 

Un sujet qui touche aussi à la qualité de vie au travail

Le numérique responsable ne se limite pas à l’environnement :
 

  • une meilleure gestion des outils permet de réduire la surcharge mentale,
  • la réduction des sollicitations numériques (notifications, mails, visios) contribue à apaiser les rythmes,
  • des équipements plus durables et bien configurés évitent les frustrations et les pertes de temps.
     

En adoptant une démarche numérique responsable, les organisations agissent donc aussi en faveur de la santé et du bien-être au travail.

 

 

 

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