L’amitié est-elle un bon socle pour une association ?
Charline et Anthony fondent leur collaboration sur une confiance mutuelle, née d’une amitié de longue date. Ce lien renforce leur complicité et leur manière de travailler ensemble. Chacun assume un rôle clair, ce qui leur permet de rester complémentaires et efficaces.
Mais cette amitié garantit-elle une collaboration durable ? Marie-Claire Valentini nuance : bien qu’elle facilite la coopération, elle ne protège pas des désaccords. Pour durer, il faut clarifier les attentes, définir les responsabilités et savoir gérer les tensions.
Comment poser un cadre sain et éviter les tensions ?
Dès le départ, Charline et Anthony ont listé ce qu’ils ne voulaient pas vivre en s’associant. Cela leur a permis de fixer des règles claires : une implication équilibrée, des compétences complémentaires et une vision commune. Ils veillent aussi à maintenir une communication ouverte pour prévenir les conflits et ajuster leur fonctionnement au fil du temps.
L’argent est-il un facteur de rupture ?
Pour eux, l’argent n’est pas une priorité absolue. Ils privilégient une approche équilibrée, où les décisions ne sont pas dictées par la rentabilité immédiate. Cependant, ils reconnaissent que la gestion financière peut devenir un point de tension si elle n’est pas abordée avec transparence.
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