Par Jean Michel CHIAPELLO, CEFASC
L’arrêté du 26 juin 2013 sur la méthodologie de repérage des matériaux contenant de l’amiante, à rechercher avant la réalisation de travaux de démolition, parachève le nouveau dispositif réglementaire encadrant le retrait d’amiante dans notre pays, que ce soit dans les bâtiments, les installations industrielles, les véhicules ou les navires.
   Le lien est donc créé entre les
  obligations du donneur d’ordre d’informer sur la présence
  d’amiante, et la responsabilité de toute entreprise d’informer et
  de protéger ses opérateurs. Celle-ci doit désormais, à partir
  des  matériaux auxquels elle s’attaque, constituer une
  panoplie de « processus » de traitement, qu’il faudra
  classifier selon le niveau d’empoussièrement occasionné. Il aura
  au préalable fallu tout mettre en place pour réduire au maximum
  la production de poussières par des moyens de protection
  collective. Pour cela les premières pistes sont à rechercher dans
  le décret du 4 mai 2012. Deux arrêtés, l’un du 7 mars et l’autre
  du 8 avril 2013, précisent par ailleurs les protections
  collectives et individuelles complémentaires à mettre en place
  pour chaque processus en fonction du niveau d’empoussièrement
  mesuré. Le dispositif fait appel à de puissants moyens de mesure
  des concentrations en fibres d’amiante cancérogènes, limités
  cependant à celles, minoritaires en nombre, présentant une
  longueur supérieure à 5 micromètres.
Le lien est donc créé entre les
  obligations du donneur d’ordre d’informer sur la présence
  d’amiante, et la responsabilité de toute entreprise d’informer et
  de protéger ses opérateurs. Celle-ci doit désormais, à partir
  des  matériaux auxquels elle s’attaque, constituer une
  panoplie de « processus » de traitement, qu’il faudra
  classifier selon le niveau d’empoussièrement occasionné. Il aura
  au préalable fallu tout mettre en place pour réduire au maximum
  la production de poussières par des moyens de protection
  collective. Pour cela les premières pistes sont à rechercher dans
  le décret du 4 mai 2012. Deux arrêtés, l’un du 7 mars et l’autre
  du 8 avril 2013, précisent par ailleurs les protections
  collectives et individuelles complémentaires à mettre en place
  pour chaque processus en fonction du niveau d’empoussièrement
  mesuré. Le dispositif fait appel à de puissants moyens de mesure
  des concentrations en fibres d’amiante cancérogènes, limités
  cependant à celles, minoritaires en nombre, présentant une
  longueur supérieure à 5 micromètres.
    Dernière minute :
    Le décret 2013-594 du 5 juillet 2013 modifiant le
    décret du 4 mai 2012 vient recadrer le calendrier de l’entrée
    en vigueur des dispositions. Il fait l’objet d’une présentation
    officielle accessible à l’adresse
    suivante :
    http://www.travailler-mieux.gouv.fr/IMG/pdf/calendrier_accreditation_certification.pdf
  
Dossier réalisé avec l’aimable collaboration du Comité de Rédaction Réso A+
 
                                 
                                                 
             
             
         
                 
             
             
                                     
             
             
             
             
                                     
            