L'OQEI remplace l’Observatoire de la Qualité de l’Air Intérieur (OQAI) en élargissant son champ d'action. En plus de la qualité de l'air, il s'intéresse désormais à d'autres facteurs essentiels comme :
- les poussières,
- le bruit,
- l’éclairage naturel et artificiel,
- les champs électromagnétiques,
- le confort thermique.
L’OQEI vise ainsi à devenir un « outil d’aide à la décision et d’appui pour les politiques publiques », comme l’indique Etienne Crépon, président du CSTB. Il contribuera également à une meilleure compréhension de « l'exposome » : la somme des expositions environnementales subies par un individu tout au long de sa vie.
Pour mener à bien sa mission, l'Observatoire travaillera avec divers partenaires pour recueillir, compiler et produire des données précises et fiables. Ces informations seront disponibles pour la communauté scientifique, les pouvoirs publics, les collectivités, les professionnels et le grand public via des plateformes numériques et des bulletins thématiques.
L’OQEI prévoit plusieurs initiatives structurantes pour ses débuts :
- création d’un centre de ressources scientifiques,
- définition des campagnes prioritaires,
- exploitation des données existantes,
- lancement de nouvelles campagnes de mesures.
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