PREVENIR LES EXPLOSIONS - La réglementation
ATEX
25 novembre 2010 – Lyon
Stage 1040
Cette formation est destinée à appréhender les enjeux associés
aux atmosphères explosives, à connaître le cadre réglementaire, à
disposer d’une méthodologie d’analyse et de traitement des
risques associés. La maîtrise de la prévention des risques liés
aux explosions est indispensable en rapport avec les énergies
développées et les effets catastrophiques. Les autres dangers
associés aux substances et mélanges potentiellement explosifs ne
doivent pas être occultés pour autant dans la démarche de
maîtrise du risque. Le risque explosion doit être abordé dans le
cadre de la maîtrise globale des risques produits liés aux
propriétés physicochimiques, toxicologiques ou écotoxicologiques
des produits. La réglementation Atex, issue des directives
européennes de 1994 et de 1999 et transposées dans le nouveau
Code du travail, ne considère que le risque explosion ou incendie
et explosion. Les obligations techniques et organisationnelles
sont fixées par les articles R.4227-42 à R.4227-54 du nouveau
Code du travail et par l’arrêté du 8 juillet 2003 relatif à la
protection des salariés et la signalisation de sécurité. La
démarche de prévention proposée est associée à une analyse
cinétique des données techniques, humaines et organisationnelles.
LE CHSCT FACE A L'OBLIGATION DE SECURITE DE
L'EMPLOYEUR
30 novembre 2010 – Bordeaux
Stage 1041
Créé en 1982, le CHSCT voit ses prérogatives s’accroître. En
effet, la jurisprudence de la Cour de cassation s’efforce, depuis
une dizaine d’années, d’élargir ses missions en l’autorisant à
intervenir dans des domaines qui ne relèvent pas de ses
compétences initiales. Beaucoup d’entreprises se heurtent
actuellement à ces compétences renforcées du CHSCT. Dans le
domaine de l’organisation générale de l’entreprise, il a acquis
un véritable pouvoir de blocage des décisions managériales du
chef d’entreprise, dès lors que les mesures envisagées sont
contraires à l’obligation de sécurité de résultat du chef
d’entreprise ou qu’elles ne sont pas précédées de l’avis
obligatoire du CHSCT.
Le chef d’entreprise ainsi que les différents dirigeants et
cadres des organisations doivent donc être particulièrement
attentifs à l’évolution de la jurisprudence relative à
l’accroissement des compétences et des prérogatives du CHSCT. Ses
nouveaux domaines d’intervention sont nombreux : gestion du
personnel et des carrières, avec notamment les systèmes
d’évaluation du personnel ; restructurations des
entreprises ; analyse des nouveaux systèmes de
management ; santé mentale des salariés avec la prise en
compte accrue des risques psychosociaux…
Le programme proposé donnera aux participants un état complet des
textes et de la jurisprudence ainsi que des règles de bonnes
pratiques : le rôle croissant du CHSCT en matière de
santé-sécurité au travail, les droits des représentants du
personnel, leurs missions, les obligations et droits des
employeurs.
GERER LES RISQUES DE LA SOUS-TRAITANCE, santé, sécurité,
environnement, qualité
9 décembre 2010 - PARIS
Stage 1044
La notion de coactivités a une importance croissante car
l’entreprise change. La notion de site tend à se substituer à
celles de société et d’établissement, avec la cohabitation de
plusieurs entreprises. Les montages juridiques et
organisationnels sont assez diversifiés. Ils peuvent être rangés
dans deux catégories principales : sous-traitance classique
avec la présence de prestataires aux missions variées, dans le
cadre de contrats d’entreprise ; partenariats contractuels
dans le cadre de contrats d’entreprise ou de sociétés ou même de
GIE. À ces coactivités liées à ces situations nouvelles, il
convient d’associer celles, plus traditionnelles, des chantiers
de construction.
Indispensables au développement, ces situations de coactivités
doivent être gérées avec une attention et des méthodes
spécifiques. Or, l’organisation traditionnelle des entreprises
est généralement peu adaptée à ces nouvelles configurations de
données techniques, humaines et organisationnelles.
En outre, la législation sociale impose des obligations et des
interdits particuliers qui ont du mal à être traduits dans de
bonnes pratiques. C’est ce qui explique que cette question
inquiète tant les managers et leurs équipes de
santé-sécurité-environnement.
Souvent négligée, la veille juridique et managériale est le
parent pauvre des pratiques. Le recours à des entreprises
extérieures étant désormais une pratique courante, la fonction
veille doit s’exercer en amont, au stade des appels d’offres et
de l’accueil, puis pendant l’intervention. Elle doit être capable
d’identifier les points faibles du professionnalisme et de
l’organisation de l’entreprise.
Comment organiser la veille durant les interventions des
entreprises ? Quels sont les droits de l’entreprise
utilisatrice ? Ce stage doit permettre de connaître les
données des risques et de missionner l’organisation en place.
GERER LE RISQUE PENAL, les données du risque
15 décembre 2010 – Paris
Stage 1039
Tout devient droit pénal ! Depuis une décennie, les
infractions se sont multipliées, les peines ont été aggravées et
les poursuites sont plus nombreuses. L’hypothèse pénale doit être
retenue comme un risque de l’entreprise et de ses dirigeants.
Longtemps ignorés, les risques pénaux doivent désormais être
intégrés dans toutes les décisions et démarches de
prévention.
Cependant, si des condamnations sont généralement la règle,
quelques décisions de justice prononcent des non-lieux et des
relaxes. En même temps, la nouvelle procédure de composition
pénale (acceptation d’une peine proposée par le parquet) permet
d’échapper au procès.
Ces nouvelles données méritent qu’on leur accorde une attention
particulière.
Au-delà du procès pénal, les risques sont importants pour les
organisations, les dirigeants et les personnels :
organisationnels, financiers et moraux… La connaissance des
jurisprudences les plus récentes est indispensable à la mise en
œuvre de bonnes pratiques de prévention des causes du risque et
de limitation de ses impacts.
Le programme proposé donnera aux participants un état complet des
principes, des règles et des démarches.
Accéder aux autres formations : http://www.preventique.org/formation/index.php?page=liste_formations.php
Pour tous renseignements complémentaires, contacter le
Groupe Préventique :
par mail formation@preventique.org ou par téléphone au 05 57 87
45 63
.
Groupe Préventique
68, cours de la Martinique - BP 70083-33026 BORDEAUX Cedex
Mel : formation@preventique.org
Tel : 05 57 87 45 63- Fax : 05 57 87 45 67