Voici le 1er sujet d'une série intitulée « « 9 facteurs de progrès pour la santé au travail en France » » présentée par le GEPI.
Un salarié malade ou accidenté dans sa vie privée n’est pas au travail et coûte, à la société et à son entreprise. Quelles évolutions ce constat de bons sens peut-il entrainer? Comment l'employeur ou son représentant peut-il savoir, au quotidien, si le salarié qui se présente est capable de travailler (les Anglo-saxons parlent de « fit to work ») notamment sur des activités à risques élevées? La pénibilité de certaines activités peut présenter des risques de désinsertion à terme. Que faire?
Patrick
BENJAMIN
Secrétaire du GEPI
GROUPE D'ECHANGES DES PREVENTEURS