La santé en défaut ou la maladie, laissent entendre que les situations sont délicates.
Comment parler et se parler, quoi dire et à qui ?
Comment recevoir ces paroles, ces annonces, comment éviter la maladresse ?
Je propose de regarder ces questions au prisme de la délicatesse, qui invite à réfléchir aux conditions de possibilités de la parole et à la place du sensible dans nos organisations.